«Nous ne cessons de nous étonner du passage du temps… Cela montre que le temps n´est pas notre élément naturel… C´est que notre vraie patrie est l´Éternité; dans le temps, nous ne sommes que des visiteurs de passage.»
(Simon Leys, Le Bonheur des petits poissons: Lettres des Antipodes, Éditions Jean-Claude Lattès, 2008)