By the blue tiled walls near the market stalls
There's a hidden door she leads you to
These days, she says, I feel my life
Just like a river running through
The year of the cat
(Al Stewart, Year of the Cat, 1976)
Imágenes, palabras, sonidos, entrelazados, sin razón aparente.
Dans ma cervelle se promène,
ResponderEliminarAinsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,
Tant son timbre est tendre et discret;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.
(Baudelaire)
Anónimo, el gato me sugiere que también hubiera sido muy «entangled» À une passante.
ResponderEliminarjo! the whole remember for me...
ResponderEliminarMe encanta esa canción. Y tu foto.
00:
ResponderEliminarUnidas… sin razón aparente.
Vaya... agudo e intuitivo... como de costumbre. Se te echa de menos.
ResponderEliminarBonjour Entangled,
ResponderEliminarJe te remercie de ta visite et de ton commentaire sur la chanson d'automne Verlaine.
Je découvre ton blog et reviendrai pour faire plus ample connaissance.
Amicalement
Bienvenue, Kenza.
ResponderEliminarIci aussi, Entrez sans frapper.